Conseils pour réussir son initiation au vin nature - Partie 5

 

Photos : Bruno Guérin
Texte : L’équipe Déserteur

 
 

Il est tout à fait normal de commettre quelques erreurs lorsqu’on s’initie au vin nature. On est tous passés par là. Si on pouvait revenir dans le temps #backtothefuture, et se donner des conseils, quels seraient-ils ? Dans cette optique, on a préparé une série d’articles pour répondre à cette question.

Pour la partie 5, on met de côté les a priori et on sort de notre zone de confort.


Découvrir, tu continueras

« Oh moi, je n’aime pas le vin rouge », « je n’aime pas le champagne », « je n’aime pas le saké. »

Ces phrases, on les a déjà dites. Et maintenant, on importe du champagne de vigneron·ne·s et du saké d’artisan·e·s. Le vin, au sein d’une même catégorie (d’un style, d’une région, d’un cépage, etc.), n’est pas homogène. Tous les vins rosés ne goûtent pas pareil, comme tous les vins élaborés avec du riesling ne sont pas sucrés.

Il faut continuer de déguster, de développer notre palais et acquérir un langage qui nous permettra de comprendre ce qu’on aime ou n’aime pas d’un tel vin. On pourra ainsi être capable de le communiquer.

Bref, la curiosité est notre meilleure alliée. C’est le temps de sortir de nos pantoufles et essayer un cépage qu’on pense détester, une région qu’on ne connaît pas ou même du saké !


Extra :

  • Les monocépages, tu essayeras : Rien de tel que d’essayer des vins produits à partir d’un seul cépage pour comprendre les caractéristiques de ce dernier et son terroir. Avec de la pratique, il sera alors plus facile de reconnaître son apport dans un vin d’assemblage.


 

Et maintenant ?

Pour continuer de découvrir de nouveaux vins, on offre des nouvelles caisses découvertes tous les mois. Bien sûr, on reste à votre disposition pour toute question.